A l’Accadémia ; l’histoire de la peinture

 religieuse vous saute au visage ; agressions, tortures, nudités exposées dans leur fragilité, béatitudes surlignées. On est sommé de croire. A l’extérieur, dans cette Venise où l’histoire est toujours vivante, on se butte à l’emprise générale de l’Eglise, jusque dans les sons et l’espace. Mais dans les églises les tableaux sont à peine visibles délivrant des messages subliminaux.

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