une oeuvre en cours de réalisation avec rouille artistique…
Sous l’ardent soleil,
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Parc Franck Delmas :
dans cette propriété donnée à la ville par un Armateur, a été réalisée une des oeuvres majeures de Karlheinz Stockhausen , “Sternklang”. Le 2 juillet 1974 le ciel était clair et les musiciens pouvaient interpréter leur partition en s’inspirant des dessins des constellations.
Un village qui
n’hésite pas à afficher sur tous ses murs des photos grand format : Saint Savinien sur Charente.
Saint Savinien un
village ouvert aux artistes et qui leur aménage espace d’exposition et ateliers : une exposition autour de KLIMT y est présentée tout l’été.
Vitrail “urbain” de
Jean Vindras.
Extérieur des Nelles Métamorphoses.
Veuillez nous excuser pour la rupture récente du flux des images du jour.
S’il n’est pas rétabli, nous vous conseillons de vous réinscrire sur mon site :
www.phelippotyves.fr
Orangerie de la
la Mothe St Héray : ma série “FRONTIERE” exposée dans le jardin du 17ème siècle.
Inauguration d’une
exposition d’artistes, poètes et chanteuse russes; son titre : “Oiseau de Bonheur”.
Œuvre de la plasticienne
En bas Œuvre de la plasticienne Catherine Métais,
ayant un atelier à St Martin de Ré et à Berlin, et réalisée à Berlin. En haut
façade à LR d’un bâtiment rasé.
Musée de St Martin
Jardin du musée de St Martin : le sculpteur Dotigny
dresse un commentaire sculpté de la statue de Washington.
Festival
d’Arts Actuels : inauguration de l’exposition “Grands Formats Impertinents”
dans la citadelle du Château d’Oléron. Les officiels devant ma dernière oeuvre
“Fictions du Regard”. A gauche le maire de St Martin de Ré, au centre le maire du Château d’Oléron, grand défenseur des arts dans sa commune, et entre les deux en noir la présidente du festival : Catherine Métais, artiste plasticienne travaillant à St Martin et à Berlin.
Festival d’Art Actuel
musée de St Martin de Ré; installation interactive du collectif E2A:
“nique Marcel” (Duchamp), le thème du festival étant l’impertinence.
Le 9 juin 18h, vernissage
de la grande et très belle exposition des oeuvres grand format, des artistes de la région (j’y participe avec mes “Fictions”). Dans la forteresse du Château d’Oléron, construite par Vauban. C’est l’extension du Festival d’Arts Actuels qui avait lieu dans l’île de Ré, et qui maintenant réunit les 2 îles.
Plafond bleu,
l’éclairage de la scène transfigure la salle.
Etonnant ce trompe l’oeil !!
Les touristes s’en aperçoivent-ils??
Scène finale de
Phaëton de Lully à l’opéra royal de Versailles.(mise en scène de Benjamin Lazar)
La chapelle du château de Versailles.
Les “migrants” , titre de la dernière
sculpture de Bruce Krebs (crabe en allemand) ; très réussie ,très évocatrice.(dans l’atelier de sculpture “Terra Amata”)
tentative d’évasion??
Performance créative dans
une “friche” -Terra Amata – consacrée à l’art. Les peintres interviennent tour à tour sur les trois toiles. Sculpture aérienne de Rémi Polack.
Visite guidée des expos
des Rencontres photographiques de Niort : au fond, photo de Laura Bonnefous.
Le superbe monument des Girondins ;
toute l’énergie de Bordeaux et sa région, et pourtant il n’y a que de l’eau !!
Une des plus jolies scènes de
l’opéra Pinocchio de Philippe Boesmans.
Rencontre due au hasard des panneaux
d’affichage : Vivaldi et le Rock…
La guinguette du Gabut et son Crieur
viennent de rouvrir. C’est de nouveau la grande attraction CULTURELLE?? de l’été.
Jusqu’au 18 mai j’expose le “Lutin Rouge”,
Porte Maubec: exposition vente au profit de l’association qui encourage le Don d’Organes.
Julien Jaffré caché par la queue de sa baleine.
Benjamin s’entraîne à déclamer
en vieux François une fable de La Fontaine ( le COQ et le RENARD).
Recyclage : au moment où
les jeunes états-uniens protestent contre la vente libre des armes à feu, voici un exemple de ce que l’on peut en faire ; un trône fait avec des kalachnikovs (par Gonçalo Mabunda artiste du Mozambique)
Ce n’est pas un rempailleur
de chaise, c’est un artiste des clématites , Gérard Lhériteau, au travail.
le 14 avril est décédé
un des pionniers du renouveau de la musique baroque : Jean-Claude Malgoire. Révélé en 1972 au Festival d’Art Contemporain de Royan, lors de la soirée Paul Mefano. Spécialiste du hautbois, il interpréta avec son ensemble de musique ancienne , des oeuvres de Guillaume de Machaut dont le rondeau “Ma fin est mon commencement et mon commencement est ma fin”. Par la suite son interprétation très baroque des Indes Galantes de J PH Rameau, vint se confronter à celle très classique de Jean François Paillard. Scandale !! Quelle richesse musicale ces années 70 !! A part France Musique , on n’a pas parlé en France de sa disparition…Typique de notre pays…