En sortant du Clos des Cimaises,
Le Ricercar Consort de Philippe Pierlot ,au centre,
Poème.
Stage de danse baroque : chorégraphie et sa transcription en
Proposition de réutilisation des vieux postes TV très bientôt obsolètes.
La colère gronde dans la rue.
Le grand vide
Hommage à Nikolaus Harnoncourt, décédé samedi.
Hommage à Nikolaus Harnoncourt. Dernier message laissé par le MAITRE du Baroque il y a 3 mois :. « Une relation incroyablement profonde s’est nouée entre nous sur la scène et vous dans la salle – nous sommes devenus une joyeuse communauté de pionniers ! », expliquait le maestro dans sa lettre imprimée sur le programme du concert de l’ ensemble «Concentus Musicus» fondé il y a plus de 60 ans.. « Restez-moi fidèles », concluait-il. ( disque fondateur datant de 1971 : la Passion selon St Mathieu de Jean Sébastien Bach )
Même pas peur.
Un livre à écouter ou à lire, qui montre avec une inquiétante douceur
Les deux facettes de la femme selon CHOMO (château de Tours)
Un des fils de CHOMO explique les créations de son père (1907-1999)
Un survivant du conseil des Dix vous dit au-revoir.
Siècles et création se rencontrent au Florian.
Le Florian épicentre du carnaval :
Dans l’île monastère de san Francesco del deserto.
Flamboyant costumé allégorique.
Retour au carnaval : robe très inventive
Salle de répétition dans la Philharmonie 01 à Paris.
Le 5-12-2015 Nikolaus Harnoncourt annonçait sa retraite.
Sur le site d’Arte, beau concert en hommage à Pierre Boulez
Tableau final
Nouveau graf très original.
Jouer au morpion sur un monument : création d’Olivier Rocheau.
Préparant une conférence sur l’histoire de la photo,
A la fin de sa vie P.Boulez était victime d’un glaucome tenace,
Hommage à Pierre Boulez ( lire en dessous de l’image )
En hommage à Pierre Boulez décédé hier à l’âge de 90 ans:
” Pierre Boulez est un guide spirituel dans le meilleur sens du terme; c’est à dire que ce créateur-explorateur des sons vous rendait INTELLIGENT. Toujours il laissait la porte de l’avenir ouverte, ses œuvres mêmes évoluaient sans cesse et avec l’apport de l’ordinateur en tant que co-interprête ,des perspectives inouïes se déployaient. Lui même disait “que l’on ne pouvait pas vivre sans inconnu”. La dernière fois que je l’ai vu, le 17 octobre 2009 à la salle Pleyel, il n’était que musique, il semblait détenir les clés d’une harmonie supérieure. Depuis il l’a confirmé dans une interprétation apaisée et bouleversante du Requiem d’Olivier Messiaen (Et Expecto..). Nous devons nous rejouir que la France soit capable de donner naissance à de tels génies. Sachons en assumer l’héritage.
Au revoir Pierre et Merci.”
Yves Phelippot
PS: l’éclair rouge qui traverse la photo d’hier pourrait être l’âme-héritage de Pierre Boulez.






























