Oeuvre de Szajner "la Disparition" in l'expo "une mer sans escale" (La Rochelle)
La fête est finie.
La Folle Journée de Nantes : le hall du palais des Congrès envahi par les milliers d’amateurs de musique classique des USA.
La Folle Journée de Nantes : Matan Porat joue la sonate Concord (1920-21) de Charles Ives . La planche=les premiers clusters.
Pluie du matin:
Oiron : toujours aussi remarquable , “365 Brûlures solaires” de Charles Ross.
Le château d’Oiron déjà célèbre pour les mouches musiciennes de ses WC (concerto pour mouches d’Ilya Kabakov), invente dans un autre WC un troisième sexe : les artistes !
Dans le soir…
Travail sur ordi…
En plein centre ville : célébration
de Jean-Louis Foulquier créateur des Francofolies,
juste après la disparition du grand festival de Musique et d'Arts Contemporains.
Cette disparition a étouffé l'éclosion de multiples jeunes pousses créatives. Les Francofolies ne les feront jamais renaître et la chanson imposa sa loi. Par contre sur la plan publicitaire ce fut une grande réussite…
Imaginer un nouvel Hôtel de Ville…
L’âme de Nelson Mandela est partie dans un grand éclat de lumière (l’Opéra de l’Automne :final provisoire)
Street-art avec du ruban adhésif.
Le mois des Ombres.
Sélectionné au Prix des Mouettes qui s’ouvre à la photo. J’ai heureusement échappé aux têtes de mort…
Vitrines de Noël au Printemps-Paris-Prada
Exposition Sophie Calle-Galerie Perrotin-rue de Turenne-Paris
L’Ensemble Intercontemporain interprète en diagonale sur la scène,
Vernissage : Michel Boucheret commente ses photos.
Le café de la Paix.
Le retour du masque rural inspiré de la nature,
Danseuses qui tentent d’ouvrir l’espace de l’art contemporain aux enfants, et… aux adultes.
Salon d’art contemporain : la cabane à base de poches à huitres de Marie-Christine Forest (le Reliquaire Profane).
Le corps s’abandonne, l’âme s’envole, les panneaux bruissent ; “Bruits Blancs”
Une sculpture de Fabien Merelle en phase avec l’époque actuelle.
Poésie de l’affiche déchirée.
Tentative d’effacement. Serait-ce une trace de zombie?
Paysage culturel…
FIAC : il faut être élégant pour la visiter, mais beaucoup d’oeuvres “d’art” expriment un humour ravageur, comme les sculptures suspendues de Juan Munoz.
Les objets les plus humbles élevés au rang de produit artistique, finissent par imprégner les galeristes qui prennent spontanément des attitudes de sculptures vivantes à la Gilbert and George!
FIAC Paris : naissance d’une vocation? et battes de base-ball de David Adamo.
La Fiac multiplie cette année les expositions annexes hors du Grand Palais.
La SNCF devait en faire partie; elle créa ce jour une oeuvre-happening!
Explication : Le TGV de 7h20 partit avec 15mn de retard. La veille au soir une rupture de caténaire fit arriver très tard le dernier train. Les contrôleurs n'ont pas eu assez de temps de repos. Donc ce matin il en manquait. Il a fallu improviser une solution et faire monter en cours de route une charmante contrôleure. Le train arriva finalement à l'heure.
Second acte de l'happening : le dernier TGV du soir s'arrête juste après son départ de Paris. Attente 10mn : problème électrique nous dit-on… On redémarre.
100km plus loin nouvel arrêt sur une voie de garage. 15mn d'attente. On repart. A Poitiers plus de 20mn de retard et tous les autres TGV de même.
Finalement par je ne sais quel miracle on arrive à l'heure à destination.
Donc pour vivre une aventure artistique prenez le train; vous ferez partie alors du "patrimoine artistique immatériel" de l'humanité!!






























