Squelette…
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Les gilets jaunes refleurissent peu après les jonquilles.
Un nouvel alphabet.
Parking…
Très réussie exposition vénitienne créée par la spécialiste Michelle Santi.
Mémoire et vide…
Souvenirs…Comme un Canaletto…
Retour en passant par le Mont-Blanc.
Pendant que Bruce Nauman s’autodécoupe en tranches
à la Douane de Mer, je l’imagine sur les tapis roulants de l’aéroport en train de courir après
ses morceaux…
Pendant que le Baruffe règne sur la scène de
la Fenice (opéra de G;Battistelli d’après Goldoni), un calme souverain se reflète dans les eaux des canaux.
Retour à la normale sur le campo san Giovanni e Paolo.
Tandis que l’art contemporain (Georg Baselitz) s’intègre
parfaitement dans le somptueux palais Grimani (Renaissance), les canaux de Burano
me font penser au fond de scène renaissance du teatro Olimpico de Vicence (décors de Vincenzo Scamozzi)
Mardi-Gras: le caffé Florian accueille les
costumés qui célèbrent la communauté du carnaval.
L’humour est un mode d’expression difficile dans
lequel les italiens et les autrichiens (en bas) se déploient sans complexe.
Art et fantaisie sont très liés; la Piazzetta me
fait penser à un tableau d’Olivier Suire-Verley.
Rencontres, l’histoire sublimée.
A Venise la beauté s’épanouit grâce à l’eau.
Toujours ce contraste entre l’intelligence et la connerie des hommes;
concert baroque dans un palais vénitien (clavecin Jean Christophe Leclère, violon Minori Deguchi) ; et pendant ce temps la guerre est imposée à l’Ukraine…
La grâce fleurit dans les palais et sur les places.
Explosion baroque.
Le Grand Canal vu d’un palais.
Venise: des rues entières ont vu leurs commerces
se fermer; ils sont marqués de bandes vertes et numérotés. Ils dépassent le nombre de 140…
La manif du samedi.
les prochaines images du jour seront sur instagram.
Demain vernissage.
J’expose deux triptyques.
Pas besoin d’un ordinateur pour partager virtuellement une boisson…
Chicons…
Seule…
C’est la fête populaire…
La promesse d’une nuit bien fraîche.
Train fantôme.
