Nuages : travailler à l’abri de la canicule.
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L’immeuble futuriste de
la MECA à Bordeaux, qui abrite le FRAC Nelle Aquitaine.
Aborder le carrefour trop vite,
atterrir dans un arbre et terminer la soirée en beauté.
Je participe à cette exposition
jusqu’au 13 Août y compris.
Un abri contre la canicule :
les Bassins de Lumières à Bordeaux (Ocean Data-création Ouchhh)
Bassins des Lumières :
Klimt et Egon Schiele transfigurent la Base sous marine de Bordeaux.
Un des deux derniers trains
de nuit : le Briançon – Paris.
Une carpe qui sollicite
toute mon attention (Montluçon).
Voilà un touriste qui sait
utiliser un équipement collectif hérité du patrimoine!
Au sommet de l’Izoard (2632m),
hommage au groupe musical allemand Kraftwerk et à son tube “Tour de France”.
C’est le bon jour:
planeurs prêts à voler ( base de St Crépin).
Festival de fleurs alpestres
dans le village du Chazelet.
Même au sommet du Galibier,
une stèle en l’honneur du masque.
En route pour le bivouac de
nuit au-dessus du Lautaret.
Cheminée fleurie.
Avertissement à l’entrée de l’alpage:
port du masque obligatoire!!!
Coucher de soleil sur le
glacier du Tabuchet.
Il faut arroser certaines “”oeuvres d’art”:
ici la gouttière.
Qui retient l’autre?
Vider une maison.
Souvenir ; festival Messiaen 2017 avec
un extrait de la partition de la Fauvette des Jardins qui se déploie dans l’église de La Grave. Cette année tout est annulé : la vallée a perdu une partie de son âme…
Fosses profondes au-dessus du col du
du Galibier; sans doute creusées par l’alternance du gel et du dégel sous et autour des plaques de neige épaisses.
Simplement magique.
La Meije.
Pause sur la route.
Etape imaginaire.
Clavecin : à regarder pendant
que l’on écoute les concerts virtuels des festivals annulés.
Pas besoin d’aller loin pour
trouver des lieux sauvages . Au Gabut et dans les parcs, l’aventure en circuit court.
Le vieux port : le quai Duperré
en avril confiné et mi-juillet.
Francofolies en souvenir;
il ne reste plus que des mini-concerts.
Étirements avant les
cours de danse et de musique baroques; les corps sollicitent l’inspiration venant du ciel-plafond.