A la bibliothèque.
Lumière hivernale.
Il n’y avait plus autour de lui qu’un vide éclatant, une réverbération éblouissante annonciatrice de cet épiphénomène auquel on donne le nom de “réalité”. Philip K. Dick 1965.
Entrée du port dans le matin gris.
Autrefois on gravait dans le marbre, maintenant on grave dans le verre, et la qualité du message n’est pas la même.
Encore un tour avant d’atterrir.
Café du petit matin.
Les particuliers illuminent leur nuit malgré la pluie.
Devises de la pensée unique : plus on urine, plus on économise de l’eau ; chouette je reviendrai!
Dans le post-modernisme, le néo-indien se dresse. Pour Diésel il court.
Enterrer les poubelles, à grand frais, ne les ramasser qu’une fois par semaine, résultat elles débordent,
surtout pour Noël et encore le jour n'est pas fini! Heureusement les ordures sont ramassées le mercredi…
En passant (le rideau final de l’opéra de l’automne?).
Pont au-dessus de l’avenir.
Il n’est pas interdit de croire au Père Noël : lui réclamer le pont de l’île de Ré gratuit pour tous.
La rocade a ses propres sapins de Noël.
Imaginer un nouvel Hôtel de Ville…
Street-art avec du ruban adhésif.
La période de joie obligatoire est lancée; mais cela correspond à un besoin profond , le besoin de lumière.
Et même après la mort on espère être encore une petite clarté dans le coeur des hommes.
Vitrines de Noël au Printemps-Paris-Prada
Opéra séquence 9 : matin menaçant?
A la porte d’un grand magasin.
Le café de la Paix.
Réunion – discussion. Les prochaines élections se préparent.
Lors du match de rugby, le rond-point a vraiment une utilité : parking.
Tempête sur un temple de la consommation.
Tranquille.
Poésie de l’affiche déchirée.
Tentative d’effacement. Serait-ce une trace de zombie?
Paysage culturel…
Installation…..de fin de saison.
