Face à face.
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L’art du graf c’est l’art de rebondir,
à l’exemple des discussions où l’on “rebondit” sur ce que vient de dire l’interlocuteur.
En attente d’un avenir qui ne vient pas.
Versailles : espace tri près du marché ; très distingué !
Fantôme.
Trompe l’oeil sur le mur orange d’un immeuble d’une cité de Navarre.
Confrontation des cultures
ce dernier week-end à La Rochelle : les anti-Monsanto ; le festival des graffeurs ; les fous de Harley-Davidson. Tout s’est bien passé.
Street-art collé.
Oiseau du paradis.
“L’aurore, la brume et l’oiseau sont les victuailles de l’instant/
que va avaler le monde qui me voit. La table est le fond de l’eau/ de l’étang qui rarement vient à la surface…./ L’oiseau est de passage, on ne sait pas d’où il vient ni où il va, / ni peut-être s’il est venu. (Maria Gabriela Llansol)
Le Gabut et ses grafs ;
on dirait un tableau de Jérôme Bosch: les horreurs au centre et des figures improbables de part et d’autre…
L’ineffable art des ronds points.
Paysage improbable
avec orage menaçant.
Ce graffeur est parait-il
très apprécié en France et aux alentours.
Les ombres de l’hiver reculent
et révèlent des paroles radicales.
Accueil.
Ariel la sirène, refuse de s’envoler.
Le festival des cerfs-volants de Chatelaillon, a beaucoup de mal à retenir la foule.
Mur peint de tendance berbère.
Présence fragile.
Espace mémoriel.
Nouvelle perspective sur la tour
avec la disparition du parking.
Profession : “Peintre de rue”
Graf dans la Médina
de Marrakech, près du Musée de la Photo ancienne.
Joueur du stade rochelais protégeant son ballon contre les agressifs joueurs du Top 14.
Sous le regard de la pub…
Couple “moderne”.
Après le départ des voitures, le Gabut prend l’allure d’une forteresse du street-art.
Le beau temps s’attarde.
Face à face.
Nouveau graf remarquable qui témoigne d’une vraie culture picturale.
Graffiti historique présomptueux!
Street-art : traces-cheval.
