l’opéra Pinocchio de Philippe Boesmans.
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Basculement.
Après le coucher du soleil.
Dernière course de rameurs tahitiens :
Course de rameurs tahitiens:
Lieu “culturel”.
Rencontre due au hasard des panneaux
Epais brouillard venant de la mer.
La guinguette du Gabut et son Crieur
Jusqu’au 18 mai j’expose le “Lutin Rouge”,
Exposition de plantes médicinales dans
La plage non polluée de LR : Chef de Baie.
Julien Jaffré caché par la queue de sa baleine.
Tous les “gens du voyage” ont
Une fois de plus les
Pour préparer le 1er Mai.
Benjamin s’entraîne à déclamer
Printemps 02.
Non rencontre.
Voyage à l’intérieur de mon corps.
Printemps.
La folie de la consommation
Tep scan : que découvriront-ils?
Recyclage : au moment où
Ce n’est pas un rempailleur
le 14 avril est décédé
un des pionniers du renouveau de la musique baroque : Jean-Claude Malgoire. Révélé en 1972 au Festival d’Art Contemporain de Royan, lors de la soirée Paul Mefano. Spécialiste du hautbois, il interpréta avec son ensemble de musique ancienne , des oeuvres de Guillaume de Machaut dont le rondeau “Ma fin est mon commencement et mon commencement est ma fin”. Par la suite son interprétation très baroque des Indes Galantes de J PH Rameau, vint se confronter à celle très classique de Jean François Paillard. Scandale !! Quelle richesse musicale ces années 70 !! A part France Musique , on n’a pas parlé en France de sa disparition…Typique de notre pays…